Tome 9, La loi du régicide |
Robb mort, Tyrion en prison, Jon considéré comme un "tourne-casaque", j'ai eu du mal à débuter ce livre. On est plus heureux de suivre des bons personnages, en qui on croît et qui réussissent.
Mais Jaime devient de plus en plus intéressant : son emprisonnement à Vivesaigues, puis à Harrenhal , la perte de sa main le font réfléchir. Il rentre en conflit avec son père.
"J'ai déja perdu une main, un père, un fils, une soeur et une amante, je vais très bientôt perdre un frère, en plus. Et l'on persiste néanmoins à m'affirmer que la maison Lannister a gagné la guerre".
Il s'interroge sur le sens de la chevalerie. En discutant avec le chevalier aux fleurs, il pense :
"Il est moi. Je suis en train de parler à moi-même, tel que je fus, bouffi d'arrogance et de chevalerie creuse. Voila à quoi cela vous mène, d'être trop brillant trop jeune."
J'aime bien l'idée qu'il écrive son histoire sur le livre blanc des chevaliers de la garde royale.
Tout ce qui se passe au "Mur" est passionnant. Ce "Mur" est une sacré invention de l'auteur.
Cependant, au début du livre, Stannis était à Peyredragon. Aux 2/3 du livre, ce roi livre bataille aux sauvageons à Chateaunoir. Chronologiquement, c'est un peu rapide car la distance est très importante : le vent devait pousser très fort ses bateaux !.
La vraie bataille n'est pas contre les sauvageons, mais contre les "Autres".
Le mestre Aemon parle pour la première fois d'une guerre pour l'Aurore et d'un prince. A priori, ce n'est pas Stannis. Est ce Bran qui n'apparaît pas dans ce tome?
Quels rôles jouent Littlefinger et Varys ?
Benjen Stark n'a toujours pas été retrouvé.
Va t'on retrouver Arya qui quitte Westeros ?
Qui est la mère de Jon Snow ?
Tyrion est tellement faché qu'il tue son père et Shae qui se trouvait dans son lit.
"Tu m'as tiré dessus...., fit lord Tywin d'un air incrédule, l'oeil vitreux de stupéfaction.- Vous avez toujours été prompt à saisir les situations, messire, dit Tyrion. C'est sans doute ce mérite-là qui vous vaut l'honneur d'être Main du roi.
- Tu...tu n'es pas....mon fils.....
- Voila en quoi vous vous trompez, Père. Je crois bien, moi, que je suis votre miniature. Maintenant, accordez moi une faveur, crevez rondement. J'ai un bateau à prendre."
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