N'ayant pas chroniqué le tome 5, je vais le faire en même temps que le tome 6.
En fait, dans le cycle de l'Assassin Royal, pour moi, il y a 2 parties.
La première partie concerne les trois premiers tomes. Robin Hobb installe son histoire, ce qui débouche, dans le très bon troisième tome, à un intense conflit de personnes (Royal et Fitz), dans un endroit unique : le château de Castlecerf.
Cependant, à partir du tome 4, Robin Hobb base son récit sur une quête, celle que Fitz va entamer pour retrouver Vérité, puis les anciens.
Cela m'a déstabilisé, car j'aurais préféré de nombreuses confrontations, brutales, intenses, par exemple, entre Fitz et Royal ou entre Fitz et les pirates rouges.
Mon attente est peut-être lié à l'influence du Trône de Fer, ou à ma connaissance du Moyen-Age.Cela m'a déstabilisé, car j'aurais préféré de nombreuses confrontations, brutales, intenses, par exemple, entre Fitz et Royal ou entre Fitz et les pirates rouges.
En fait, j'aime beaucoup les récits qui se rapprochent de notre réalité, avec une petite dose de Fantasy.
Dans le tome 6, le dénouement du cycle se joue sur un coup de dés : la découverte des Anciens.
Je regrette que tout se résolve sur des faits de Fantasy (l'Art, le Vif, les Anciens). J'aurais préféré un peu moins de surnaturel et plus de réel.
Par exemple, par l'Art, Fitz prête son corps au roi Vérité, pour que ce dernier passe une nuit avec la Reine Kettrichen. Pour moi, c'est un peu trop.
A partir du moment ou les Anciens sont découverts, les problèmes (Royal, les pirates rouges) sont très, trop vite résolus.
De plus, j'aurais voulu en savoir plus sur certains mystères : qu'est ce que la route de l'Art ? Quelle est son origine ? Quelle est l'histoire de la cité que Fitz visite par l'Art ? D’où vient le fou ? A quelle peuple appartient-il ?
Cependant, malgré cette déception sur l'histoire, les deux tomes se lisent très bien. La lecture est agréable.
Certaines scènes sont plaisantes à imaginer. C'est un dépaysement. Ma scène préféré est celle des statues, dans le jardin de pierre.
Je me suis attaché aux personnages, notamment Fitz, le Fou, le Roi vérité.
C'est assez marrant car Robin Hobb a créé une histoire ou Fitz est le catalyseur, celui qui va dominer Royal et aider Vérité à contrer les pirates rouges. Il fait tout mais doit rester caché, inconnu.
Pour cela, "L'Assassin Royal" reste un bon cycle. Mais je vais attendre avant de lire le cycle des Aventuriers de La Mer, puis le second cycle de l'Assassin Royal.
Je regrette que tout se résolve sur des faits de Fantasy (l'Art, le Vif, les Anciens). J'aurais préféré un peu moins de surnaturel et plus de réel.
Par exemple, par l'Art, Fitz prête son corps au roi Vérité, pour que ce dernier passe une nuit avec la Reine Kettrichen. Pour moi, c'est un peu trop.
A partir du moment ou les Anciens sont découverts, les problèmes (Royal, les pirates rouges) sont très, trop vite résolus.
De plus, j'aurais voulu en savoir plus sur certains mystères : qu'est ce que la route de l'Art ? Quelle est son origine ? Quelle est l'histoire de la cité que Fitz visite par l'Art ? D’où vient le fou ? A quelle peuple appartient-il ?
Cependant, malgré cette déception sur l'histoire, les deux tomes se lisent très bien. La lecture est agréable.
Certaines scènes sont plaisantes à imaginer. C'est un dépaysement. Ma scène préféré est celle des statues, dans le jardin de pierre.
Je me suis attaché aux personnages, notamment Fitz, le Fou, le Roi vérité.
C'est assez marrant car Robin Hobb a créé une histoire ou Fitz est le catalyseur, celui qui va dominer Royal et aider Vérité à contrer les pirates rouges. Il fait tout mais doit rester caché, inconnu.
Pour cela, "L'Assassin Royal" reste un bon cycle. Mais je vais attendre avant de lire le cycle des Aventuriers de La Mer, puis le second cycle de l'Assassin Royal.
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