Date de parution : 1989
Résumé :
Au 28 ième siècle, sur la planète Hypérion, les Tombeaux du temps sont sur le point de s'ouvrir et de libérer le Gritche, figure mythologique et meurtrière.
Au 28 ième siècle, sur la planète Hypérion, les Tombeaux du temps sont sur le point de s'ouvrir et de libérer le Gritche, figure mythologique et meurtrière.
Sept personnages entreprennent un pèlerinage vers le sanctuaire du Gritche dans l'espoir de sauver la planète. Chaque pèlerin raconte son histoire à ses compagnons.
Pendant ce temps, non loin d'Hypérion, dans son espace proche, la menace d'une guerre se précise entre les Extros et l'Hégémonie.
Notes sur le livre :
Hypérion a reçu les prix Hugo et Locus du meilleur roman de Science-Fiction en 1990.
Dan Simmons est un auteur américain né en 1948. Il commence une carrière dans l'éducation, avant de devenir écrivain à plein temps en 1987. Il a écrit plusieurs romans dans différents genres : Science-Fiction, polar, horreur, fantastique, littérature classique.
Mon avis :
Ce roman est bien construit. Comme les pèlerins viennent d'horizons divers, les six récits sont différents. Mais, en même temps, chaque histoire nous apporte des précisions sur l'Hégémonie, la confédération des planètes colonisées par l'homme (son histoire, les planètes principales, son niveau technologique, les moyens de déplacement).
Pour ma part, j'ai beaucoup apprécié les récits du père Hoyt, de Sol Weintraub et du consul, qui sont plus tristes et intimistes.
L'histoire du Consul nous fait réfléchir : une société évoluée peut elle imposer son style de vie à un autre pays, planète moins avancé, mais plus en harmonie avec la nature. C'est d'actualité.
Ce livre est classé Science-Fiction, mais il y a aussi de la terreur, du fantastique.
Je ne me suis pas ennuyé : un monstre meurtrier, des vaisseaux spatiaux, les Extros, les Intelligence Artificielles, des portes Distrans, une guerre interstellaire possible... Beaucoup d'inventivité pour un bon Space-Opéra.
L'auteur a un écriture très intéressante. C'est fluide et facile à lire. Il y a des détails, mais pas trop. Ce n'est pas toujours facile, pour un auteur, de trouver le bon équilibre. Le livre (489 pages) se lit très rapidement.
L'histoire est assez complexe et addictive. J'ai relu certains passages deux fois. Notamment, j'ai du mal à comprendre la fin de l'histoire du Consul.
Quand je ne lisais pas le roman, j'y pensais quand même pour réfléchir et deviner la suite. Mais, sincèrement, c'est très difficile de prévoir le dénouement de cette histoire.
A la bibliothèque, pour pouvoir lire ce roman, il faut le demander. Le personnel le range, maintenant, dans la réserve. Je trouve que c'est dommage car c'est un très bon livre qui nous permet de passer un très bon moment. Je vais demander s'il est possible de le remettre dans les rayons, à la vue de tous les amateurs de Science-Fiction.
Vivement la suite : La chute d'Hypérion.
Hypérion a reçu les prix Hugo et Locus du meilleur roman de Science-Fiction en 1990.
Dan Simmons est un auteur américain né en 1948. Il commence une carrière dans l'éducation, avant de devenir écrivain à plein temps en 1987. Il a écrit plusieurs romans dans différents genres : Science-Fiction, polar, horreur, fantastique, littérature classique.
Mon avis :
Ce roman est bien construit. Comme les pèlerins viennent d'horizons divers, les six récits sont différents. Mais, en même temps, chaque histoire nous apporte des précisions sur l'Hégémonie, la confédération des planètes colonisées par l'homme (son histoire, les planètes principales, son niveau technologique, les moyens de déplacement).
Pour ma part, j'ai beaucoup apprécié les récits du père Hoyt, de Sol Weintraub et du consul, qui sont plus tristes et intimistes.
L'histoire du Consul nous fait réfléchir : une société évoluée peut elle imposer son style de vie à un autre pays, planète moins avancé, mais plus en harmonie avec la nature. C'est d'actualité.
Ce livre est classé Science-Fiction, mais il y a aussi de la terreur, du fantastique.
Je ne me suis pas ennuyé : un monstre meurtrier, des vaisseaux spatiaux, les Extros, les Intelligence Artificielles, des portes Distrans, une guerre interstellaire possible... Beaucoup d'inventivité pour un bon Space-Opéra.
L'auteur a un écriture très intéressante. C'est fluide et facile à lire. Il y a des détails, mais pas trop. Ce n'est pas toujours facile, pour un auteur, de trouver le bon équilibre. Le livre (489 pages) se lit très rapidement.
L'histoire est assez complexe et addictive. J'ai relu certains passages deux fois. Notamment, j'ai du mal à comprendre la fin de l'histoire du Consul.
Quand je ne lisais pas le roman, j'y pensais quand même pour réfléchir et deviner la suite. Mais, sincèrement, c'est très difficile de prévoir le dénouement de cette histoire.
A la bibliothèque, pour pouvoir lire ce roman, il faut le demander. Le personnel le range, maintenant, dans la réserve. Je trouve que c'est dommage car c'est un très bon livre qui nous permet de passer un très bon moment. Je vais demander s'il est possible de le remettre dans les rayons, à la vue de tous les amateurs de Science-Fiction.
Vivement la suite : La chute d'Hypérion.
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