Parmi les mondes appelés à rejoindre l'Ekumen, la ligue humaniste des civilisations de la diaspora, il y a Werel et Yeowe.
Werel, ou domine une oligarchie de propriétaires d'esclaves; Yeowe, sa colonie, ou quatre "corporations " pillent et saccagent la planète en écrasant sous leur joug une population d'esclaves.
Mais ou règne l'oppression gronde la révolte. La libération viendra.
J'aime beaucoup la "Science-fiction" d'Ursula K.Le Guin. L'avenir qu'elle décrit est possible.
Les quatre nouvelles du livre constituent un ensemble cohérent des deux planètes Werel et Yeowe.
A la fin du livre, l'auteur présente un cadre (deux planètes) avec des données physiques, historiques, sociales, des religions, des relations avec l'Ekumen.
Dans ce cadre, elle raconte quatre très belles histoires, qui traitent du pardon, de l'amitié, de l'amour entre deux personnes âgées, entre deux personnes très différentes.
L'écrivain défend beaucoup la place des femmes dans ces sociétés.
La dernière histoire, la plus terrible, traite de l'esclavage : les propriétaires ont la peau noire et les esclaves, "les mobiliers" la peau blanche.
Mais Ursula K.Le Guin a un regard optimiste. Les personnages de ses histoires, malgré de nombreuses difficultés, réussissent à vivre heureux.
Ce livre a reçu le pris Locus de recueil de nouvelles en 1996.
J'aime beaucoup la "Science-fiction" d'Ursula K.Le Guin. L'avenir qu'elle décrit est possible.
Les quatre nouvelles du livre constituent un ensemble cohérent des deux planètes Werel et Yeowe.
A la fin du livre, l'auteur présente un cadre (deux planètes) avec des données physiques, historiques, sociales, des religions, des relations avec l'Ekumen.
Dans ce cadre, elle raconte quatre très belles histoires, qui traitent du pardon, de l'amitié, de l'amour entre deux personnes âgées, entre deux personnes très différentes.
L'écrivain défend beaucoup la place des femmes dans ces sociétés.
La dernière histoire, la plus terrible, traite de l'esclavage : les propriétaires ont la peau noire et les esclaves, "les mobiliers" la peau blanche.
Mais Ursula K.Le Guin a un regard optimiste. Les personnages de ses histoires, malgré de nombreuses difficultés, réussissent à vivre heureux.
Ce livre a reçu le pris Locus de recueil de nouvelles en 1996.
Extrait :
"J'ai raconté l'histoire qu'on m'a demandé de raconter. Je l'ai conclue, comme tant d'histoires, par l'union de deux personnes. Qu'est ce que l'amour et le désir d'un homme et d'une femme face à l'histoire de deux mondes, face aux révolutions de notre époque, face aux espoirs et aux cruautés infinies de notre espèce ? Une petite chose. Mais une clé est une petite chose auprès de la porte qu'elle ouvre. Perdez la clé, et peut-être la porte ne s'ouvrira-t'-elle jamais. C'est dans nos corps que nous perdons ou découvrons la liberté. Dans nos corps que nous acceptons ou abolissons l'esclavage. Et j'ai écrit ce livre pour mon ami, aux côtés de qui j'ai vécu et mourrai, libre"
Cycle de l'Ekumen :
Source Wikipédia
Il existe d'autres livres d'Ursula K. Le Guin, concernant l'Ekumen.
Le Cycle de l'Ekumen, ou Cycle de Hain est fondé sur le postulat d'une civilisation, originaire de la planète Hain, qui après s'être quasi auto-détruite, a fait de tels progrès intellectuels et moraux qu'elle a révisé son rapport au monde.
L'objectif de l'Ekumen est simplement le partage libre de la connaissance, sans imposer quoi que ce soit à personne, sauf un minimum de droits de l'Homme et de restrictions de sécurité concernant les armes autorisées en temps de guerre, entre autres.
L'apport de la connaissance doit être mûrement réfléchi, avec beaucoup de circonspection, car elle n'est pas sans conséquence sur l'équilibre socio-économique des "indigènes" : toutes les vérités sont bonnes à dire, mais pas dans n'importe quel ordre ni à n'importe quelle vitesse !
Voilà toute la philosophie de l'Ekumen, la sagesse de la patience.
Presque chaque œuvre de ce cycle traite de situations que l'on pourrait rencontrer en dehors de la science-fiction, par exemple dans un monde à l'époque de la colonisation, l'Ekumen étant l'antithèse du principe de la colonisation.
Cycle de l'Ekumen :
Source Wikipédia
Il existe d'autres livres d'Ursula K. Le Guin, concernant l'Ekumen.
Le Cycle de l'Ekumen, ou Cycle de Hain est fondé sur le postulat d'une civilisation, originaire de la planète Hain, qui après s'être quasi auto-détruite, a fait de tels progrès intellectuels et moraux qu'elle a révisé son rapport au monde.
L'objectif de l'Ekumen est simplement le partage libre de la connaissance, sans imposer quoi que ce soit à personne, sauf un minimum de droits de l'Homme et de restrictions de sécurité concernant les armes autorisées en temps de guerre, entre autres.
L'apport de la connaissance doit être mûrement réfléchi, avec beaucoup de circonspection, car elle n'est pas sans conséquence sur l'équilibre socio-économique des "indigènes" : toutes les vérités sont bonnes à dire, mais pas dans n'importe quel ordre ni à n'importe quelle vitesse !
Voilà toute la philosophie de l'Ekumen, la sagesse de la patience.
Presque chaque œuvre de ce cycle traite de situations que l'on pourrait rencontrer en dehors de la science-fiction, par exemple dans un monde à l'époque de la colonisation, l'Ekumen étant l'antithèse du principe de la colonisation.
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